dimanche 22 mars 2009

Caramel à la fleur de sel (ou comment booster votre estime personnelle en peu de temps)

J'ai goûté au caramel à la fleur de sel pour la première fois dans une petite confiserie dans le vieux Menton en France, il y a plusieurs années. Rôôôôôô c'était siiiiii boooooon!!!!! La fleur de sel rajoute un petit quelque chose au caramel, à se péter la tête sur les murs! Si, si! Je n'exagère (presque) pas... Depuis, je n'en avais jamais remangé.. Certes, je les vois bien me faire des beaux yeux et susurrer de belles paroles à mon oreille à la caisse de la fromagerie Hamel, mais à plus de 3$ le petit carré, et bien je laisse faire. Trouvez-moi cheap (pourtant, côté bouffe, je dépense presque sans compter si j'ai envie de me gâter)!! Quand j'ai vu dans la dernière revue de Ricardo une recette pour faire ce caramel, et bien évidemment que je l'ai essayée!

Le résultat donne un caramel crémeux, plus pour tartiner que pour croquer! Ricardo vide l'intérieur de cupcakes à la vanille pour les farcir de caramel, mais je n'ai pas tenté l'expérience. J'ai préféré servir le mien en coulis sur un quatre-quarts à la vanille et c'était dé-li-ci-eux! Aussi, décadent comme trempette pour des quartiers de pommes! Le copain d'une amie, pâtissier dans la vie, a fait ma journée (mon mois! mon année!) en trouvant que mon caramel était super réussi... Hourra!! Hourra!!

Ce qu'il vous faut...

- 1 tasse de sucre
- 1/4 tasse d'eau
- 1/2 tasse de crème 35%, chaude
- 1/2 c. à thé de fleur de sel
- 1/4 de beurre non salé, coupé en dés

Préparation :

1. Dans une casserole, porter à ébullition le sucre et l'eau. Cuire sans remuer jusqu'à ce que le mélange prenne une couleur dorée, environ 5 minutes.

2. Hors du feu, ajouter graduellement la crème et le sel. Faire bien attention aux éclaboussures, il faut y aller doucement!

3. Porter de nouveau à ébullition en remuant, jusqu'à ce que le mélange soit homogène. Ajouter le beurre et bien mélanger jusqu'à ce qu'il soit fondu.

4. Transvider dans un bol et laisser refroidir complètement.


(Source : Ricardo Printemps 2009, volume 7, numéro 3)

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